Après notre article odorant sur le bus, il était temps que nous rétablissions l’équilibre. La Chine n’a pas été qu’une somme de galères. Loin de là. Nous y avons pris du plaisir à pédaler. Le vélo nous a permis de traverser des villages préservés et des paysages vertigineux. Ce mois nous a aussi permis de connaître un peu mieux ce pays en pleine mutation et de constater que la croissance du « miracle chinois » se fait, parfois, au prix d’un sacrifice des milieux naturels.
Avec 30 jours de visa chinois, impossible de parcourir cet immense pays uniquement en pédalant. Après y avoir globalement échappé, le moment est venu de se coller aux trajets en bus affichant des durées à deux chiffres. Et qui dit descendre de nos vélos dit aussi trouver des solutions pour leur faire traverser le pays. Et nous qui pensions naïvement que ce serait une formalité…